La Mauricienne Shaama Sandooyea, biologiste marine et éco activiste, a participé récemment à la 5e session de négociations, entre les États membres de l’Organisation des Nations unies (ONU), dont fait partir l’île Maurice. Cette rencontre devrait aboutir à un traité international pour la protection de la haute mer, le Global Ocean Treaty. Pour la Mauricienne, il est grand temps que Maurice se ressaisisse. Il ne suffit pas de participer à la COP 26 et de parler de la protection de l’environnement. Tout en laissant les grands bateaux de pêche, de pétrole ou encore de minéraux venir s’adonner à des activités dans nos eaux.

Parlant de cette cinquième session, qui se tient à New York, Shaama Sandooyea  ajoute que ce traité est extrêmement important. À ce jour, aucun État et aucune autorité ne peuvent régulariser les autorités en haute mer qui reste une sorte de no man’s land », dit-elle.