1, 768, c’est le nombre de personnes que la Fonction publique compte recruter. Bien qu’il y eût ce gel, la covid-19 ayant été de passage, l’exercice de recrutement dans la Fonction publique reprend ses droits.
Un peu plus de Rs 200 millions a été accordé au ministère de la Fonction publique pour cet exercice de recrutement.Les syndicalistes sont sur la même longueur d’onde sur le fait que la Public Service Commission doit faire son travail en toute transparence.
Naraindranath Gopee, président de la Federation of Civil Service and Other Unions (FCSOU), espère que c’est la PSC qui va assurer ces recrutements en toute impartialité et non par « delegation of powers ».
D’ailleurs, Naraindranath Gopee fait part que les syndicalistes demandent au gouvernement de bannir les recrutements par le biais de la « delegation of powers » car cela nourrit la perception qu’il y a du favoritisme quant au recrutement au sein de la fonction publique.
Radhakrishna Sadien, de la Government Services Employees Association (GSEA) abonde dans le même sens. Pour le syndicaliste la PSC est garantie par la Constitution certes, mais doit assumer ses responsabilités et recruter en toute transparence.
Selon Radhakrishna Sadien, il y a trop de cas de népotisme et c’est la raison pour laquelle il demande au gouvernement de venir montrer quelles sont les procédures qui sont utilisées pour ces recrutements.