Les pharmaciens attendent toujours une réponse du Premier ministre au sujet du regressive mark-up. Comme ce mécanisme ne fait pas l’unanimité chez les pharmaciens, ces derniers maintiennent leur décision de go-slow et se réuniront au courant de la semaine pour une décision finale sur la marche à suivre.

Siddick Khodabaccus, président de l’Union des pharmaciens explique qu’ils attendent à ce que le Premier ministre les écoute et que s’il n’y a toujours aucune réponse de sa part, ils iront définitivement vers leur un go-slow et peut être même vers une grève.

D’autre part il souligne que le regressive mark-up est un coup dure pour leurs professions et qui va sans nul doute conduire à la fermeture des pharmacies ce qui, selon lui, entraînera des licenciements.

Rappelons qu’une lettre avait été envoyée au Bureau du Premier ministre en vue d’une table ronde et que les autorités avaient jusqu’au 30 mars pour réunir les parties concernées afin de trouver une solution  au regressive mark-up.