Alain Tolbize, de la Rodrigues Government Employees Association, estime que Rodrigues n’a pas besoin d’un emprunt auprès de la MIC pour régler le problème d’eau.

Selon le syndicaliste, emprunter cette somme reviendrait à faire reculer l’île d’un bond en arrière financièrement quand il y a d’autres moyens, dit-il, de résoudre le problème d’eau dans l’île avec une somme moins onéreux.

S’agissant de la baisse de 20 % du prix du fret entre Maurice et Rodrigues, Alain Tolbize affirme qu’il y a peu de chance que cela se répercute sur le porte-monnaie des Rodriguais du fait que le contrôle des prix est quasi inexistant dans l’île.