Le coup d’envoi de la 28e édition de la conférence annuelle des Nations Unies consacrée aux changements climatiques sera donné ce jeudi 30 novembre à Dubaï.
Une conférence des Nations Unies pour le climat peut-elle se tenir dans un pays qui tire plus de la moitié de ses revenus des énergies fossiles, à savoir le pétrole et le gaz ? La question se pose, selon Sunil Dowarkasing, militant pour l’environnement.
Il explique que le choix des Émirats arabes unis, qui possède la septième réserve mondiale de pétrole, inquiète.
Sunil Dowarkasing rappelle que 27 conférences de ce type ont déjà eu lieu et rien n’a pu être fait pour contrôler l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Le problème du changement climatique n’est pas traité efficacement, dit-il.