Dans le rapport de la police, il est mentionné que la police a retrouvé dans la chambre de l’enfant qui habite Dagotière une note de suicide. Mais la famille déplore que la police ne l’ait jamais informé de cette lettre.

Depuis, la famille de la victime remue ciel et terre pour prendre connaissance du contenu de cette note. Mais dans une déclaration à Top Fm, la tante de l’adolescent explique que la police a classé l’affaire, car il s’agit d’un cas de suicide.

Cette dernière se demande désormais si cette note existe vraiment. Parce que, dit-elle, l’enfant ne sait ni lire ni écrire et était un élève de l’Extended Programme.

La tante ajoute que la police n’a pas pris possession du téléphone qui se trouvait à côté du cadavre.

À travers le portable de l’enfant, il aurait été établi qu’il se faisait harceler par une adolescente de 13 ans, selon elle. Ce qui aurait été confirmé par les amis de l’adolescent, dit-elle.