
À travers l’île, les transports illégaux restent un problème majeur. Taxis marrons, vans non autorisés et « contract cars » à l’aéroport poursuivent leurs activités malgré l’interdiction.
Plus récemment, des services de réservation de taxis en ligne ont vu certains de ces véhicules – qu’il s’agisse de contract ou de private cars – être utilisés pour des courses payantes, en violation de la Road Traffic Act, précise Ashraf Ali Ramdin.
Pour le secrétaire de la General Taxi Owner's Union, la loi est claire : ces pratiques sont illégales. « Malgré cela, elles continuent », déplore-t-il.
La General Taxi Owner's Union attend désormais une rencontre avec le ministre du Transport et la National Land Transport Authority (NLTA) afin de leur soumettre leurs doléances et trouver une solution durable à ce problème.