Les dirigeants de cette association, qui regroupe d’anciens parlementaires, étaient face à la presse ce matin. Ils ont évoqué les actes de torture dont auraient été victimes des suspects en détention policière. Alain Laridon, l’un des porte-parole, affirme qu’il y a une dégradation au niveau des lois dans le pays. La Parliamentary Democracy Foundation, dit-il, grâce à ses connexions à l’étranger, veut attirer l’attention des instances internationales sur le respect des droits humains…