Lors d’un atelier de travail sur la démocratie inclusive, Transparency Mauritius a souligné l’importance de donner la voix aux jeunes, aux femmes et aux minorités dans le processus politique. Plusieurs intervenants ont partagé leurs idées sur le sujet.

Cet atelier de travail a mis en avant les défis rencontrés par les groupes marginalisés dans les processus démocratiques.

Dans son discours d’ouverture, Mahgoub Hamid, membre du conseil d’administration de Transparency Mauritius, a évoqué la nécessité de réformer les structures démocratiques pour encourager une participation plus étendue et équitable. Il a également insisté sur l’importance de la démocratie pour lutter contre les inégalités et a réaffirmé l’engagement de Transparency Mauritius en faveur de la bonne gouvernance.
Elisenda Balleste Buxó, coordinatrice de la Global Democracy Coalition (GDC), a parlé des initiatives mises en place pour intégrer la voix des groupes marginalisés dans les pratiques démocratiques à l’échelle mondiale.

Shivani Georgijevic, panéliste et enseignante, a présenté une réflexion sur le devoir de l’État de protéger les minorités et a discuté de la sous-représentation des jeunes dans les prises de décision.
Laura Jaymangal, Executive Officer de Transparency Mauritius, a souligné l’importance de préserver les valeurs démocratiques et le rôle de l’organisation dans la lutte contre la corruption, en s’appuyant sur des données de l’Afrobaromètre concernant les conséquences de la corruption sur les minorités.

Enfin, Yuv Sungkur, président du Youth Sounding Board de l’Union européenne, a animé une discussion sur la participation des jeunes aux réformes politiques.

Cet atelier de travail se présente comme un appel à l’action, rappelant que l’avenir de la démocratie dépend de l’implication active et équitable de tous les citoyens, notamment des jeunes, des femmes et des minorités.

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