La plus grande partie de l’ADN du bébé provient des deux parents et environ 0,1% d’une femme donneuse.

Cette technique pionnière est une tentative d’empêcher les enfants de naître avec des maladies mitochondriales dévastatrices.

Jusqu’à cinq de ces bébés sont nés, mais aucun autre détail n’a été communiqué.

La technique a été développée à Newcastle et des lois ont été introduites pour permettre la création de tels bébés au Royaume-Uni en 2015.

Cependant, le Royaume-Uni n’a pas immédiatement continué les recherches. Le premier bébé né par cette technique est une famille jordanienne ayant entrepris un traitement aux États-Unis en 2016.

La Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA) affirme que “moins de cinq” bébés sont nés jusqu’au 20 avril 2023. Elle ne donne pas de chiffres précis pour empêcher l’identification des familles.