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: Le 19/02/2021 à 17:08 | MAJ à 18/07/2024 à 17:25
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Publié : Le 19/02/2021 à 17:08 | MAJ à 18/07/2024 à 17:25
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Selon les travaux de ces chercheurs de l’université d’Innsbruck, les personnes infectées en février 2020 avaient encore très largement des anticorps en novembre.

Selon cette étude, l’immunité collective pourrait même se manifester plus tôt que prévu. La deuxième vague, en novembre, a été beaucoup plus faible que dans des villes comparables de la région, ce qui laisse penser que la circulation du Covid-19 a été largement freinée grâce à la réponse immunitaire des habitants.

 

“Avec un peu de distanciation sociale, des mesures qui ne nuisent pas aux individus, et un taux de vaccination de 40 à 50 %, un semblant de vie quotidienne normale pourrait être à nouveau possible si le cas d’Ischgl pouvait être appliqué à plus grande échelle” indique Dorothee von Laer, directrice de l’Institut de virologie de l’université d’Innsbruck.

 

Selon l’université, cette étude est l’une des plus importantes du genre. Elle a permis d’analyser des données sur une longue période et d’avoir donc un aperçu de la durée de vie des anticorps, absolument nécessaires pour sortir de cette pandémie.