L’ingénieur en aérospatiale Richard Godfrey prétend avoir découvert où l’avion condamné MH370 s’est écrasé dans l’océan après avoir disparu avec 239 personnes à bord en 2014 – et que les recherches l’ont raté de seulement 28 km. Il a utilisé une nouvelle technologie appelée propagation de signal faible auparavant inutilisée dans ses recherches.
L’épave de l’avion qui a disparu en 2014 avec 239 à bord n’a jamais été retrouvée
L’endroit n’est qu’à 28 km de l’endroit où un navire américain avait déjà fouillé en 201.
Richard Godfrey affirme en effet que l’avion a heurté l’océan à 1 993 km à l’ouest de Perth et se trouve à 4 000 m sous la surface au fond de l’océan.
L’avion a disparu le 8 mars 2014, avec 239 personnes à bord. L’épave n’a jamais été retrouvée malgré un effort de recherche international de 200 millions de dollars sur quatre ans couvrant plus de 120 000 m² – déclenchant un mystère persistant.
Le capitaine Zaharie Ahmad Shah (photographié avec de la viande et un couperet dans notre photo) était le commandant de bord lorsque l’avion transportant 238 autres passagers et membres d’équipage a disparu le 8 mars 2014 a été accusé d’avoir effectué un acte suicidaire dans cette affaire.
M. Godfrey affirme que l’avion est situé au fond de l’océan dans une zone à la base du plateau sous-marin de Broken Ridge
Il affirme qu’une recherche précédente a raté le site de l’accident de seulement 28 km et espère que son rapport publié hier, mardi, entraînera une nouvelle chasse l’année prochaine.
L’emplacement est dans la même zone où le professeur Charitha Pattiaratchi, responsable de l’océanographie de l’Université d’Australie occidentale, affirme également que l’avion repose.
Il a utilisé une nouvelle technologie appelée propagation du signal faible, développée à l’origine pour la radio numérique, qu’il décrit comme un “groupe de fils-pièges qui fonctionnent dans toutes les directions à l’horizon jusqu’à l’autre côté du globe”.
Lorsque les avions traversent ces « fils de déclenchement », le signal est perturbé.
Il a testé cette méthode en utilisant plusieurs vols « à l’aveugle » qui n’ont pas été suivis de la manière habituelle et affirme que les données ont suivi avec précision les trajectoires de vol.
Le MH370 disposait également d’un système de communication par satellite utilisant des satellites britanniques Inmarsat qui suivaient l’emplacement de l’avion toutes les heures.
M. Godfrey a déclaré que les deux technologies, lorsqu’elles sont utilisées ensemble, peuvent fournir “un bon résultat” dans le suivi d’un avion.
“Ensemble, les deux systèmes peuvent être utilisés pour détecter, identifier et localiser le MH370 pendant sa trajectoire de vol dans le sud de l’océan Indien”, a-t-il déclaré.
Il affirme que l’avion serait situé sur ou à proximité du dernier ping du satellite, qui peut être sauvegardé et affiné par les données de propagation du signal faible.
Selon son rapport, l’avion s’est écrasé environ une minute après la dernière liaison satellite à 8h19 au-dessus de l’océan Indien et l’avion repose à la base de Broken Ridge – un plateau océanique dans une zone remplie de ravins et d’un volcan sous-marin.
Cet emplacement 33.177°S 95.300°E n’était pas dans la zone de recherche d’origine définie par l’Australian Transport Seafety Bureau en 2015.
Mais il se trouve dans la partie nord de la zone de recherche étendue de 120 000 km² en 2016.
Une recherche en 2018 par la société américaine Ocean Infinity a raté l’emplacement de seulement 28 km.
Des chercheurs de l’Université de Cardiff ont analysé les données que les enregistreurs de sons (stations HA01 et HA08) ont captées la nuit du crash et ont suggéré deux nouvelles routes possibles pour le crash – une vers l’ouest de l’Australie (route un) et une vers Madagascar (route deux ).
Il a déclaré que cet emplacement correspond également aux informations existantes telles que d’autres données satellitaires, les spécifications techniques de l’avion, la météo et l’endroit où les 33 débris récupérés de l’avion ont été trouvés.