C’est ce que nous a indiqué l’inspecteur Shiva Coothen. Il explique que les courriels contenant les alertes à la bombe auraient été envoyés depuis l’étranger par le biais de serveurs sécurisés.

Le responsable du Police Press Office souligne que les autorités mauriciennes doivent désormais se diriger vers des experts étrangers.

56 écoles, privées comme publiques, sont concernées. Les établissements scolaires en question ont reçu hier matin des courriels contenant des alertes à la bombe.

La police a immédiatement réagi. La Bomb Disposal Unit de la Special Mobile Force a été déployée sur les lieux. Toutefois, aucune présence d’engins explosifs n’a été détectée. Cela a néanmoins provoqué la fermeture temporaire de certaines écoles.

L’enquête se poursuit pour remonter jusqu’à l’expéditeur.