Zayn Ali Salman est le plus jeune joueur à avoir jamais intégré l’école de football des Gunners. Surnommé «le petit Messi», il vient de fêter ses 5 ans.
Approché par plusieurs grands clubs européens, Zayn Ali Salman a été recruté par Arsenal dès l’âge de 4 ans.
C’est bien connu, la valeur n’attend pas le nombre des années. Mais là, Arsenal y est allé fort en recrutant Zayn Ali Salman dans son école de football à seulement… 4 ans. Un prodige tellement précoce, si l’on en croit son père, que son talent a été détecté dès la maternité !
« J’ai réalisé au moment où il est né, a-t-il confié à la BBC. Je me souviens que l’infirmière l’avait mis sur le ventre et il a levé la tête et commencé à regarder tout autour. Elle était choquée. On pouvait se dire qu’il était très fort dès son plus jeune âge. Ça donne le ton de son éducation. On pouvait voir qu’il était différent des autres enfants. Ce qui ressort vraiment, c’est son équilibre. Il a un équilibre incroyable depuis son plus jeune âge. »
Le mini Gunner, surnommé «le petit Messi», a fait l’objet d’approches d’autres grands clubs avant de rejoindre la formation londonienne. Difficile d’imaginer qu’il est encore à la crèche quand il ne tape pas dans un ballon…
« On le faisait évidemment jouer avec des enfants de sa tranche d’âge de quatre, cinq ou six ans et il était déjà au-dessus de tout le monde de la tête et des épaules, explique Austin Schofield, son entraîneur à la First Touch Academy. Il était plus rapide qu’eux, il avait de meilleures dispositions avec le ballon. La manière dont il frappe et passe le ballon était tellement meilleure que celles des autres. Donc, nous l’avons surclassé (il joue contre des enfants de 6, 7, 8 ans), j’ai parlé avec son père et il voulait l’essayer avec des enfants plus âgés. Je me suis dit : Pourquoi pas, on va essayer. »
Stephen Deans, dénicheur de perles du club londonien, n’a pas eu de doutes en voyant le futur prodige. « Cet enfant fait des choses qu’il ne devrait pas faire, lâche-t-il. La manière dont il tape le ballon, ça a l’air trop fort pour quelqu’un de son âge. Donc j’ai appelé un ami et il m’a dit : Il a quatre ans. J’ai dit : Ce n’est pas possible, il ne peut pas être à la crèche, je dois parler à ses parents. Et nous en sommes arrivés là. »