Depuis deux semaines déjà, le deputy prime minister, et leader des mauves s’est déjà exprimé sur un point de non-retour.

Les observateurs sont uninamines.

Des scenarios existent, soit il part seul ou entrainant avec lui la majorité des mauves.

Pour l’observateur politique Yvan Martial, le scénario est relativement clair. Selon lui, si Paul Bérenger souhaite effectivement quitter le gouvernement, « la porte est ouverte ».

Il estime que le leader des Mauves pourrait partir seul, avec l’ensemble du MMM ou seulement une partie, sans que cela n’affecte réellement la stabilité de la majorité.

Michael Atchia insiste sur un principe fondamental : le respect du mandat confié par la population.

Il rappelle que dans une démocratie, un gouvernement élu pour cinq ans a la responsabilité morale de mener son mandat à terme et d’honorer ses engagements, quelles que soient les tensions politiques internes.

Jean-Luc Mootoosamy parle des implications institutionnelles d’un éventuel départ du leader des Mauves.

Il souligne qu’il ne s’agirait pas du retrait d’un simple parlementaire, mais bien d’une figure centrale de la majorité gouvernementale, ce qui pourrait entraîner des répercussions politiques d’une tout autre ampleur.